dimanche 15 décembre 2013

Day trip to Wien.

Bonjour à tous !
Comment c'est passé votre semaine? La mienne était tellement longue, probablement que j'attendais Samedi avec impatience, puisque je l'ai passé à Vienne, toute la journée. Donc j'en ai vraiment beaucoup à écrire, j'espère que vous serez capable de toute me lire ! 1,2,3, COMMENCEZ!

Samedi matin, je me suis levé à 4h30 du matin, j'ai préparé mes trucs pour la journée et je suis partir à 5h05 pour prendre mon train de Leibnitz à Graz à 5h16. Je suis ensuite arrivé à Graz à 6h pour ensuite rencontrer Mélanie, nous avons acheté nos billets de train sortie de l'argent pour la journée et avons rentrer dans le train. Nous sommes partie à 6h25 pour ensuite arrivée à Vienne à 9h00, ça prend 2h30 pour se rendre là-bas. Nous avons pas dormi, il faisait trop clair et pour ma part, j'étais trop excité pour dormir !

ARRIVÉ
C'étais la deuxième fois que j'allais à Vienne. Honnêtement, j'avais un peu peur de me perdre puisque je ne connais pas les environs du tous et que Vienne est beaucoup plus gros que Montréal avec plus de population, mais bon, avec les cartes du métro, des trains et des Trams plus Google map, on ne pouvait pas ce perdre vraiment. Jamais j'aurais voulu allez à Montréal seul ou avec des amis parce qu'on ne connais pas trop la ville... Et bin la, on s'en allais visité une ville plus grosse, qu'on est allé à peine 1 fois ou 2 et on parle pas si bien la langue alors...
Personne ne nous attendais à la gare de Wien Meidling alors, j'ai appelé Eva qui est du Canada aussi, qui allait nous retrouvé au Schloss Schoebrunn. Sa faisait presque 4 mois que je ne l'avais pas vu. J'étais tellement contente de la voir ! Nous croyons que nous pouvions visité le château tous de suite mais nous pouvions seulement commencé à 13h14. Donc nous avons acheté les billets puis nous sommes partie voir le Karlskirche.


C'est une église de l'époque Baroque. Commencé en 1716 puis terminé en 1737.
 
 
Ensuite nous sommes allés voir la Stephansdom.

Le début de sa construction en 1137 puis elle fut terminé en 1263.
La Cathédrale contient les viscères de la famille Habsbourg, dont les intestins de Marie-Thérèse.
 
Ensuite nous avons mangé un petit quelque chose au Starbucks puis nous sommes repartie au Château pour notre visite. malheureusement, nous ne pouvions prendre de photo de l'intérieur du château. Mais j'en ai de l'extérieur.
 








Mélanie, Moi et Eva.
 
 
Nous avons pris le Grand tour, 9,50 euros pour visité 40 pièces du château. Nous avons pris des audioguides. Chaque pièces à un numéro et tu fais le numéros sur l'audioguide puis ensuite qu'elle t'expliques l'histoire de cette pièce.
 
Nous avons commencé par les escaliers bleus, puis la salle à parquet à chevrons où si nous regardons par la fenêtre, nous voyons la grande cours impériale. Puis la salles des gardes où se trouvait les gardes de François-Joseph, chargé de surveiller l'accès au appartements de l'appartement.
Ensuite nous passions par la salle de billard avec la table de billard original qui appartenait au grand-père de François Joseph, il servaient de passe-temps au membre du corps militaire.  
 
 
Ensuite nous sommes allés au Salon en noyer. C’est ici que François-Joseph donnait ses audiences. On venait voir l’empereur pour lui témoigner sa reconnaissance à la suite d’une distinction, déposer une requête ou se présenter après une promotion à un poste officiel. François-Joseph pouvait recevoir jusqu’à cent personnes en une matinée. 
 
Le Cabinet de François-Joseph.
François-Joseph monta sur le trône d’Autriche à l’âge de 18 ans. Il était capable d’abattre un travail colossal en une seule journée: il commençait à travailler avant 5 heures du matin et passait sa journée à son bureau. C’est là qu’il étudiait les dossiers et c’est là aussi qu’il se faisait servir le petit déjeuner et le déjeuner. Ainsi, la vie du premier fonctionnaire de l’État se déroulait principalement à cette table de travail. Dans ses appartements privés, l’empereur renonça à tout apparat. Il aimait s’entourer de portraits privés, de photos de famille et de cadeaux de ses enfants et petits-enfants. L’un de deux grands portraits montre François-Joseph à l’âge de 33 ans, l’autre représente son épouse, l’impératrice Élisabeth, personnalité devenue mythique et plus connue sous le nom de Sisi.



 
 
Chambre à coucher de François Joseph.
C’est dans la chambre à coucher que l’empereur entamait sa journée, qui se déroulait selon un horaire rigoureux. Il se levait à 4 heures du matin, se lavait à l’eau froide, puis faisait sa prière matinale sur le prie-Dieu, car c’était un catholique très fervent. Le lit de fer témoigne du style de vie austère du souverain autrichien. C’est dans ce lit qu’en 1916, après 68 ans de règne, au milieu des tourments de la Première Guerre mondiale, François-Joseph rendit son dernier soupir à l’âge de 86 ans. Le tableau sur le chevalet montre l’empereur sur son lit de mort. A la sortie de cette chambre, vous pouvez voir à gauche, une fois passé la porte, les toilettes impériales. Elles ont été aménagées en 1899 à la "mode anglaise" pour François-Joseph.

 
 
Cabinet de l'escalier.
Dans le cabinet de l’escalier, qu’elle utilisait comme bureau, Elisabeth écrivit ses nombreuses lettres, son journal et ses poèmes. D’ici, un escalier en colimaçon menait directement à ses appartements privés du rez-de-chaussée, mais il fut supprimé après la chute de la monarchie.



 
 
Le cabinet de Toilette. 
Le cabinet de toilette était destiné aux soins de beauté de l’impératrice. Elle était considérée comme une des plus belles femmes de son temps et en était d’ailleurs bien consciente. Ses journées étaient ponctuées par des traitements de beauté et des exercices sportifs pour garder la ligne.
Sa splendide chevelure, qui lui tombait jusqu’aux chevilles, exigeait, elle aussi, plusieurs heures de soin par jour.

 
 
Chambre à coucher commune.
En 1854, François-Joseph épousa sa cousine Élisabeth qui venait alors tout juste d’atteindre ses seize ans. Cette pièce fut aménagée à l’occasion de leur mariage et devait leur servir de chambre à coucher commune. Toute sa vie, François-Joseph a idolâtré sa femme. Mais personne ne saura jamais si elle lui rendit son amour. Dès le début, Élisabeth se rebella contre la rigidité de la vie à la Cour et elle se métamorphosa au fil des ans en une femme indépendante. Elle finit par mener sa propre vie et entreprit de longs voyages. À Vienne, elle ne faisait plus que de très brèves apparitions. En septembre 1898, à Genéve, l’anarchiste italien Luigi Lucheni la poignarda avec une lime. Elle avait alors 61 ans.
 
 
Salon de l'impératrice (Sissi).
Le salon de réception d’Élisabeth doit son atmosphére exceptionnelle aux boiseries blanc et or, aux tentures de soie claire et aux superbes meubles de style néo-rococo. L’horloge devant le miroir est dotée d’un cadran inversé qui permet de lire l’heure dans le miroir.
Les pastels du XVIIIe siècle qui ornent cette pièce méritent qu’on s’y attarde. Ils représentent les enfants de Marie-Thérèse et sont attribués à des peintres renommés, entre autres au peintre genevois Liotard, que Marie-Thérèse appréciait particulièrement. 
 
 
Salon Marie-Antoinette.
Cette pièce servait de salle à manger familiale. Les dîners de famille suivaient le cérémonial strict et précis de la Cour. La table était toujours décorée de manière festive: au milieu se trouvaient des surtouts dorés ornés de fleurs, de fruits et de confiseries. Pour les dîners officiels, on servait de la cuisine française, mais pour les repas familiaux, François-Joseph préférait des mets typiquement viennois, comme l’escalope viennoise, la goulache, le "Tafelspitz", un bouilli de bœuf, ou le fameux "Kaiserschmarrn", un dessert à base d’œufs. Pour que les plats soient toujours frais et chauds, on les transportait vers les appartements dans des caisses chauffées; dans une pièce attenante à la salle à manger, ils étaient maintenus à la bonne température sur des réchauds alimentés au charbon et plus tard au gaz.
L’empereur prenait place au milieu de la table, l’impératrice en face de lui - lorsqu’elle était présente. Car, comme Elisabeth suivait un regime pratiquement en permanence pour garder sa ligne svelte, elle ne se préentait que rarement aux repas.

La chambre des enfants.
La chambre des enfants est orneée d’une série de portraits qui représentent les filles de Marie-Thérèse. Pour des raisons politiques, l’impératrice maria la plupart de ses onze filles alors qu’elles étaient encore enfant. à côté de la porte, à votre gauche, vous voyez un portrait de Marie-Christine, la fille préférée de Marie-Thérèse. Elle fut la seule à avoir pu faire un mariage d’amour. L’élu de son cœur était Albert de Saxe Teschen, le fondateur de l’Albertina.
D’ici, vous apercevez la salle de bain aménagée en 1917 pour Zita, la dernière impératrice d’Autriche.



La salle des glaces.
Du temps de Marie-Thérèse, cette salle servait aux fêtes de famille célébrées en cercle restreint. On y donnait notamment aussi de petits concerts. C’est ici qu’en 1762, le jeune W.A. Mozart, alors âgé de 6 ans, donna son premier concert devant l’impératrice.
"Après avoir joué" écrit plein de fierté son père, "Wolferl a sauté sur les genoux de Sa Majesté, l’a entourée de ses bras et l’a embrassée."
 
 
La grande galerie, située au coeur du château, était utilisée par la famille impériale pour y donner des bals, des réceptions et des dîners de gala. Se développant sur une longueur de plus de 40 mètres et une largeur de près de 10 mètres, la grande galerie était le cadre privilégié pour les grands évènements de la Cour. Les glaces en cristal, les stucs blanc et or et les fresques peintes au plafond constituent une prestigieuse oeuvre d’art totale de l’époque rococo.
Les fresques, réalisées par le peintre italien Gregorio Guglielmi, glorifient la monarchie autrichienne sous le règne de Marie-Thérèse. Sur la fresque du centre, vous pouvez voir, assis sur le trône, François de Lorraine et Marie-Thérèse, entourés de personnages symbolisant les vertus monarchiques, ainsi que d’allégories représentant les pays de la couronne.
Avant l’électrification du palais en 1901, les deux lustres en bois sculpté et doré portaient chacun 70 bougies. Depuis la fin de la monarchie, la grande galerie sert également de salle de concert. C’est ici aussi qu’en 1961 eut lieu la rencontre légendaire entre les présidents Kennedy et Khrouchtchev.

 
 
 
Salon des cérémonies. Du temps de Marie-Thérèse, les évènements familiaux comme les baptêmes ou les mariages, se célébraient dans le salon des cérémonies. La série de tableaux qui orne cette salle relate la fête de noces célébrée à l’occasion du mariage de Joseph, fils aîné de Marie-Thérèse et héritier du trône, avec la princesse Isabelle de Parme, issue de la maison royale des Bourbons.
 
 
 

 
Salon bleu chinois.
Au début du XIXe siècle, les murs du salon bleu chinois furent tendus de papier peint décoré à la main datant du XVIIIè siècle, tels que vous les voyez maintenant.
 
Vous foulez en ce moment un sol qui fut témoin d’un important évènement historique: c’est dans cette pièce qu’eurent lieu les négociations qui aboutirent à la déclaration du 11 novembre 1918 par laquelle Charles Ier, le dernier empereur d’Autriche, renonça à l’exercice du pouvoir. Le lendemain, la République autrichienne fut proclamée, mettant ainsi fin aux plus de 600 ans de règne des Habsbourg. Charles ne voulut cependant pas abdiquer et dut prendre l’exil, ainsi que sa famille. Il mourut en 1922 à l’âge de 35 ans sur l’île de Madère ; sa femme Zita mourut en 1989 et fut inhumée dans la crypte impériale en tant que dernière impératrice d’Autriche.
 
 
Le salon vieux laque.
Le salon vieux laque a été transformé par Marie-Thérèse en salle commémorative après le décès de son très cher époux François de Lorraine, qui mourut subitement en 1765. Les panneaux de laque noire, importés de Pékin, ont été insérés dans des boiseries en noyer et entourés de cadres dorés.
Après le décès de son mari, Marie-Thérèse n’a plus jamais quitté le deuil. Dans le livre de prière de l’impératrice, on trouva, après sa mort, un billet où elle avait consigné avec précision le nombre d’heures que dura son heureuse union. Marie-Thérèse fit exécuter trois tableaux pour cette salle commémorative: au milieu se trouve le portrait de François Ier Stéphane, peint par Pompeo Batoni. Le double portrait de Joseph II et de son frère Léopold a été réalisé par le même artiste et a été peint à Rome en 1769. Sur ce tableau, vous apercevez sur la table devant Joseph un exemplaire de "L’Esprit des Lois" de Montesquieu, un des livres majeurs du siècle des lumières. Ce courant de pensées inspira toutes les ambitions et les réformes du jeune empereur.
 
Le Salon Napoléon. Le salon Napoléon nous rappelle que l’empereur des français s’installa à deux reprises dans l’ancienne chambre à coucher de Marie-Thérèse : lorsqu’il occupa Vienne en 1805 et en 1809. Le mariage en 1810 de Napoléon avec Marie-Louise, fille de l’empereur François II/Ier, le petit-fils de Marie-Thérèse, devait sceller la paix entre les deux puissances. Après la chute de Napoléon, Marie-Louise revint temporairement à la Cour de Vienne avec son fils. Dans la foulée du congrès de Vienne en 1814/15, elle obtint finalement le duché de Parme, à la condition toutefois de laisser son fils, le duc de Reichstadt, l’Aiglon, à Vienne. Sous l’instigation des puissances européennes, le petit "Prinz Franzi", comme on l’appelait à la Cour, devait à tout prix rester politiquement dans l’ombre et grandir isolé à la Cour de Vienne sous la tutelle de son grand-père. Comme tous les Habsbourg de sexe masculin et conformément à la tradition familiale, l’enfant dut aussi apprendre un métier artisanal. Son portrait le représente en petit jardinier. Le Duc de Reichstadt est mort jeune, en 1832, à l’âge de 21 ans à la suite d’une maladie pulmonaire. Le buste le représente sur son lit mortuaire. Sur la console, vous voyez son animal domestique préféré, une alouette huppée.
 
 
Le bureau de l'archiduchesse Sophie.
Le bureau de l’archiduchesse Sophie faisait partie des appartements de l’archiduc François-Charles et de l’archiduchesse Sophie, les parents de François-Joseph qui occupèrent ces pièces au XIXe siècle.
L’ambitieuse Sophie poursuivit avec ténacité et succès le dessein d’assurer le trône des Habsbourg à son fils. Mais elle fut aussi une conseillère politique hors pair – ses contemporains la qualifiaient de « seul homme à la Cour de Vienne ». Avec sa belle-fille, l’impératrice Élisabeth, dont elle était d’ailleurs également la tante, l’archiduchesse Sophie entretint des rapports très tendus. Elle contribua aussi au malaise que Sisi n’a cessé d’éprouver à la Cour de Vienne. Élisabeth se plaignit souvent des contrôles incessants et de la tutelle permanente que sa belle-mère exerçait à son égard.

 
 
Chambre riche. Cette salle est dénommée d’après le seul lit de parade de la Cour viennoise à avoir été conservé. Il fut exécuté à l‘époque du mariage de Marie-Thérèse et se trouvait dans les appartements de celle-ci à la Hofburg de Vienne. Assorties au lit de parade en velours rouge richement brodé d‘or et d‘argent, les tentures murales sont brodées d‘éléments architecturaux de même facture. 
 



 
 
 
Il y avait beaucoup d'autre pièces, mais je ne l'ai est pas toute trouvé sur le site du château.
 
Après avoir terminer la visite, nous sommes alles au Cimetière de Vienne. Je sais... c'est un peu morbide mais, il y avait la tombe de Beethoven et Strauss. Nous avons essayer de chercher pendant près de 40 minutes, mais nous n'avons jamais trouvé la tombe de Beethoven. Le cimetière est tellement gros que les voitures peuvent rentré. Il commençait à faire noir et c'étais vraiment effrayant. Quand nous sortions du cimetière, ils commençaient à fermer les portes. Pas longtemps après, nous sommes retournés au Karlsplatz pour rencontrer d'autre exchange students de Vienne au marché de Noel, ensuite, vers 19h30, je suis retourné à la gare pour prendre mon train à 20h03. Je peux vous dire que j'étais extrêmement, fatigué quand je suis arrivé chez moi à minuit.
 
J'ai passé une excellente journée et la prochaine place que je visite, Salzburg !
 
Bonne semaine à tous :)
Frédérique. xoxo

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